And so Joy fall in love with Jimmy { <3

J'avais depuis quelques temps une vision de l'amour sombre et pessimiste. Le voir me quitter pour son frère fut douloureux et ravageur. J'avais vécu dans la passion de la haîne, j'avais detester tout ceux qui voulaient m'aider. L'oublier, oublie le joy combien de fois je l'avais entendu, combien de fois j'avais esperer l'oublier. Restant cloitrée dans cette chambre avec pour seule compagnie la peine et la ranqueur, mon coeur était devenu sombre et sans vie. Ma raison de vivre n'était désormais plus là. J'étais seule face à la vie, pleine de malheureux. Bien des fois j'avais pensé à fuir loin d’ici, essayant de ne plus jamais tomber nez à nez avec lui par peur de vouloir le tuer et bien des fois j’eu pensé à l’impossible, la mort mais j’avais survecu me frayant un chemin dans ce monde sans pitié. Je mettais doucement remise à travaillé en cour, a sortir et à m’excuser auprés de ceux qui était rester là mais pour l’oublier je sortais, rencontré des types que je n’aimais pas ; j’en était même venue à coucher avec Dorian dans une amitiée améliorer ; moyen caché d’oublier ce beau blond qui hanté mes nuits. Son visage et son odeur me hanté, sa veste toujours posé prés de moi, il était ma destinée et je le savais pertinament. Au fur et à mesure de l’année, les choses étaient de moins en moins douloureuse, je m’efforcais de vivre sans lui. Mais quand tout s’arranger, il revint à moi comme un bomrang. Son visage, quand j’ouvrit cette porte. Les larmes, la douleur dans la poitrine, la peur de souffrir à nouveau, la giffle, la discution, les sentiments cette conversation resté en moi encore aujourd’hui. Puis il y avais eu Jason, dans toute sa splendeur, je pouvais dire que j’en étais amoureuse, il m’avait fait oublier Jimmy pour mieux me laisser avec cette modite lettre d’adieux. Il avait disparu lui aussi, je commençais à croire, que je n’étais pas faite pour aimer tout simplement. Je crois que le plus dur fut de le voir dans les bras de Jordan, cette jalouse qui me rongeait corps et âme. J’étais jalouse et amoureuse, éperdument amoureuse. Lui dire sans hésitation mais le laisser avec Jordan c’était sa le truc ; mais il m’avait finalement chosit, moi, lui, nous.

Le mariage, aussi loin que je me souviennes mes plans avaient toujours étaient, diplôme, mariage et étrangement tout fut chambouler, mariage et peut être un dimplome. Mais je ne regrettais pas ce choix. J’assumais mon amour pour lui. Entrer dans l’école, lui en costard et moi en robe de marier avait attirer le regard de plus d’un êleve mais au fond je n’avais d’yeux que pour lui. J’étais désormais madame Parker, et je le repettais sans cesse dans ma tête ne voulant pas y croire. Sa douceur m’avait tellement manquais comme sa douce voix. Mais désormais nous étions unis par les liens sacrée du mariage comme avait dit l’homme d’eglise. La perceptive, de l’amour avec moi pour toujours me rendais encore plus heureuse. Je t’aime ma cherie, c’était certes de petit mot mais je les avaient attendus si longtemps. Ses baisers, fruités et tendre. Je ne m’en lassais pas. Je remarquais l’attention qu’il prennait à ne pas m’ecraser et cela me touchait mais je crois que rien ne pourrait gacher ce bonheur. Ah peut être sa veste qui était dans mon dos et me faisait assez mal. Je me relevais doucement, j’enlevant et la posant délicatement sur le sol.

- Elle m’est précieuse.

Dit-je avec le sourire à l’homme que j’aimais. J’enlevais doucement la veste noire de son costard faisant attention de ne pas l’habimer. Je me replongeais dans son doux regard.

- Si tu savais depuis combien de temps je t’attends.

Je souriait heureuse

- Joy Parker, une évidence

Je n’avais nullement honte face à lui. Je crois que j’aurais pu tout lui dire, me confier et l’aimer pour l’éternité. William Shakespeare à ecrit « Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait pour elle, elle est morte pour lui. », j’aimais la vie, plus que tout au monde mais ma vie se resumait avec lui. Prend moi, aimer moi, serre moi mais ne n’oublie pas. Ce moment de paradis, de bonheur qu’il m’offrait, je l’avais attendu tellement longtemps, mais désormais il était réel. Finalement l’attente était beaucoup trop longue et je revais de lui et de ce moment depuis tellement longtemps. C’est assez incroyable ce que mon corps désirait le sien, c’était incroyable la sensation qu’il me procurée, je restais le plus calme possible. Mais il était si parfait, tendre et attirant. Mon corps tout entiér, trembler sous son corps, je sentais son caleçon gonfflait doucement et je fremissais de désir. Mais ce n’était pas un simple désir c’était le vrai amour celui que l’on ne trouve qu’une fois dans sa vie. Il rendait mon cœur fou de bonheur, et mon corps de plus en plus désirant.

Mes mains glissaient le long de son corps parfait sans aucun défauts. Le plus délicatement possible, je glissais mes jambes contre son corps. Je ne faisais qu’un avec lui à ce moment, il était a la fois doux, sensuel et prévenant. Je savais qu’il ne me brusquerait jamais. Je l’aimais aussi pour sa. Je m’allongeais doucement dans son lit, ses mots me firent sourire et je l’embrassai tendrement, dans le coup et sur ses lèvres. Elle senti sa main déboutonné son jeans, l’excitation la gagné, sa main passait dans les cheveux de jimmy ; quand il l’embrassait le coup.

« Attention les étoiles … nous sommes de retour ».

Après quelques secondes, son jeans fut sur le sol de la pièce. Puis elle lui enleva son boxer. Elle se retrouva totalement nue dans ses bras, c’était si magique et agréable et tendre. Un conte de fée. Elle passait ses jambes autour de lui. Leurs doigts s'enliassèrent quand elle le regarda dans les yeux se mordillant les lèvres inferieur en le regardant. L’exitation et la passion me guettait de plus en plus ; nous n’étions qu’un désormais. J’eu l’étrange sensation que rien au monde ne pouvait être plus parfait et magique. Je prolongeais chacun de ses baisers au maximun, profitant de ses lévres et de tout ce qui en suivait. Mes mains l’attirérent vers moi. Son compliment me fit totalement rougir, je me sentait bête et je ne me trouvais pas jolie et j’étais toujours mal à l’aise dés qu’il me faisait un compliment. Mais celà me rendait encore plus folle de lui